vendredi 31 mai 2013

secret de succés



Quel est le secret des hommes à succès ?


Lorsque j'étais jeune (je vous signale que je le suis encore, car je n'ai que 42 ans et à la vérité je me sens beaucoup plus jeune que lorsque j'avais vingt ans de moins car alors je ne possédais pas encore le secret mystérieux du succès), lorsque j'étais jeune donc, il m'arrivait souvent d'aller à l'aéroport...

A la vérité, j'y allais au moins une dizaine de fois par semaine...
Hélas ce n'était pas pour prendre l'avion vers des destinations chaque fois nouvelles...  C'était  tout  simplement  pour  accompagner  degens  :  je conduisais un taxi !

Eh oui, pour payer le coût de mes études, (ma famille n'était guère fortunée)
j'occupais presque tous mes temps libres à conduire des gens à l'aéroport...


Les uns voyageaient pour affaires vers les grandes capitales du monde, les autres prenaient des vacances... Souvent je reprenais les clients que j'avais déposés quelques jours (ou quelques semaines) auparavant... Plus bronzés ou plus riches...

Je ne sais pas qui a dit que l'argent ne fait pas le bonheur. (Je dois cependant vous dire que j'ai ma petite idée là-dessus : à mon humble avis - et vous n'êtes nullement tenu de le partager- il s'agit soit de quelqu'un qui n'a jamais "gag un rond" mais qui aurait bien aimé le faire, ou de quelqu'un (et je penche plutôt de ce côté-là) qui était très riche, mais plut égoïste et ne voulait pas vendre la mèche.).

Quoi qu'il en soit, il ne m'a guère fallu de temps - au plus quelques centaines de passagers - pour me rendre compte de quel mon cœur penchait. On dit que dans la vie il faut savoir ce que l'on veut. Eh bien ce que je voulais était bien simple : c'était de cesser un jour (pas seulement un jour mais tout le reste de ma vie) de conduire les gens à l'aéroport et d'être celui qui se faisait conduire !

Simple n'est-ce pas ? Je suis sûr que vous en conviendrez... Seulement voilà. Comment faire ?
La modestie de ma naissance (mon absence de contacts et d'argent) ne m'interdisait-elle pas de pouvoir un jour réaliser mon ve qui était de faire ce qui me plaisait : et d'être payé pour le faire : de préférence plutôt bien que mal ?

Mon rêve, je vous le donne en mille, c'était de travailler dans une grande agence de publicité sur Madison Avenue à New York l'on retrouve la plupart des grandes agences des U.S.A., et, partant, du monde entier...

Je sentais que j'avais  en moi tout le talent nécessaire  pour le faire... Et pourtant je conduisais toujours mon Yellow cab (Au cas où vous l'ignoriez, c'est le nom qu'on donne aux taxis jaunes de New York : à tous les taxis donc car ils sont tous jaunes...).

Les touristes les trouvent d'ailleurs très poétiques ces taxis : et pour cause ! Ce ne sont paeux qui les conduisent  dans  les rues bruyantes  de New York...

me que mes études, je les avais terminées depuis plusieurs mois déjà et le super emploi dont je rêvais, je ne réussissais pas à l'obtenir... Partout où j'allais, on me servait la même réponse, sans presque de variantes : "Vous n'avez   pas   d'expérience Nous   n'engageon que   ceu qui   on de l'expérience..."

Comme cercle vicieux, difficile d'imaginer mieux, vous en conviendrez. D'ailleurs vous n'avez sans doute pas à creuser trop votre mémoire pour vous souvenir d'avoir essu de semblables refus...

Conduire un taxi (pas n'importe lequel comme vous venez de voir mais un célèbre Yellow Cab) n'est peuttre pas très payant. Mais cela
porte à réfchir. Lorsqu'on est jeune, ambitieux, et que les circonstances contrarient nos ambitions, on se met tôt ou tard à réfléchir...

Devrais-je enterrer mes ambitions ?

D'ailleurs puisque le ton est à la confidence, aussi bien poursuivre... Mon appartement (j'appelle cela appartement à défaut de trouver un autre mot pour décrire le lieu infecte et exigu que j'habitais) était si déprimant que je préférais passer le plus de temps possible dans mon yellow cab plutôt que de m'inflige le  spectacl de  mes  quatre  murs  d'une  couleur   plus  que douteuse...Et je passe sous silence les odeurs singulières qui "embaumaient" les lieux...
Quelle forme prenaient mes "méditations" ? Elles étaient très simples... Lorsque ma voiture était arrêtée, et que je faisais la file à l'aéroport avec mes
"collègues",  je me demandais  souvent  (et ces pensées  n'étaient  pas sans
m'inquiéter)
- Ces autres chauffeurs, il y a quelques années, n'avaient-ils pas les mêmes rêves que moi ?
- N'avaient-ils pas un jour, comme moi, rêvé de mener la grande vie, ou tout au moins d'avoir un emploi respectable et respecté?
- N'avaient-ils  pas  eu  tout  comme  moi  de  grandes  ambitions  que  les circonstances les avaient forcés d'enterrer ?

Pensées terribles, et en tout cas qui me terrifiaient. Qui sait peut-être qu'avec quelques refus de plus et quelques dettes suppmentaires (j'en avais déjà d'assez lourdes) car je ne parvenais pas (mais qui y parvient) à adapter mes dépenses et mes goûts (souvent extravagants) en fonction de mes revenus plutôt dérisoires... Oui qui sait, peut-être qu'avec quelques refus de plus dans les grandes boîtes j'avais en vain frappé, je me résoudrais à l'idée de passer toute ma vie dans mon
Yellow Cab...

Heureusement, mon regard ne se portait pas uniquement vers mes collègues de travail, mais aussi vers mes passagers... Il y avait plus d'espoir de ce côté- là, me semblait-il...


Quelle différence y a-t-il entre eux et moi ?

Dans mon troviseur, discrètement, j'observais mes passagers fortunés... Et je me posais des questions essentielles... Des questions dont la réponse allait m'ouvrir de nouveaux - et plus vastes - horizons!
Quelle  est à votre  avis la première  question  que je me posais  ? Et qui d'ailleurs me revenait constamment à l'esprit, comme une obsession...
Eh bien cette question était la suivante : Qu'est-ce que cesgens ont que je n'ai pas  ?
Et vous ? Vous êtes-vous dé posé cette question ? Qu'est-ce que les gens à succès ont que vous n'avez pas ? Pourquoi sont-ils différents de vous ?

Et d'ailleurs, sont-ils vraiment différents de vous ?

Ces pensées tournaient dans mon esprit de plus en plus irrité par mes insuccès... (Il est sans doute vrai que les échecs forment le caractère mais trop de déboires successifs finissent parfois par aigrir et courager).

Je  contemplais  les  visages  de  mes  passagers.  L'un  était  affligé  d'un appendice nasal qui aurait fait rougir d'envie Cyrano de Bergerac. Mais ce nez ne l'avait visiblement pas empêché de devenir très riche si j'en jugeais par son extme élégance vestimentaire et par celle de sa compagne, absolument ravissante, soit dit en passant.

Un autre était très maigre, et ses traits étaient tout sauf réguliers. Et pourtant, il se dégageait de lui une énergie peu commune. Et il possédait un charme exceptionnel.  Certains  s'exprimaient  avec  aisance,  d'autres  avec  un  peu moins de facilité.

Qu'avaient-ils en commun ? Sous leurs divergences apparentes ? Voilà bien la question que je me posais.

Il devait bien y avoir quelque chose, un commun dénominateur ?


Un embouteillage m'ouvre les portes de la réussite

Un de mes passagers réguliers était un homme d'une quarantaine d'années à la  mine  avenante.  Il  souriait  presque  toujours.  Ou  plus  préciment,  un sourire imperceptible flottait continuellement sur ses lèvres. Souriait-il à la vie ? me souriait-il ? Pas facile de trancher la question.
La vie est pleine de ce qu'on croit être des hasards. A la réflexion, avec cette distance que seul le temps permet, on se rend compte qu'il ne s'agissait pas du tout de hasards ou de coïncidences  : ce ne sont que les détours que prennent les circonstances pour que nos désirs profonds se réalisent, si tant est que notre esprit soit correctement dirigé...

C'est à un embouteillage que je dois ma réussite. Eh oui, cela peut paraître surprenant. Mais en conduisant ce sympathique passager à l'aéroport (son nom est Monsieur John Goldsmith) il y eut un terrible embouteillage comme il y en a souvent à New York, et dans d'autres capitales je suppose...

Oui,  je  dois  mon  succès  à  un  embouteillage,  et  aussi  à  une  audace élémentaire. Bien souvent, nous avons tendance oublier, par gêne ou parce que nous croyons que cela ne se fait pas, que lorsque nous voulons savoir quelque chose, il suffit bien souvent de le demander...

Cette  règle  d'or  peut  paraître  un  peu  simpliste  mais  les  années  m'ont démontré qu'elle était si fondamentale qu'il vaut la peine que je la mette en évidence : Il faut savoir demander ! Mais que demander au juste, me direz- vous ? Eh bien des questions très simples.

Premièrement demander ce que je brûlais de savoir... Le secret du succès... (Eh oui, je venais de réaliser que tous les jours j'étais en compagnie de présidents de compagnie, de millionnaires, de gens souvent célèbres et que jamais  il  ne  m'était  venu  à  l'esprit,  de  leur  demander  très  simplement comment ils avaient fait pour arriver là... Ce que je pouvais être bête... Je laissais passer tous les jours une chance exceptionnelle de demander conseil...).

Bien sûr, je n'étais que chauffeur de taxi... Ces gens si fortunés me mépriseraient peut-être. Ou ils m'éconduiraient. Mais qu'avais-je à perdre ? Pas grand chose au fond. Puisque je n'avais rien. Je perdrais seulement un peu de salive et de temps.

 Comment avez-vous fait pour parvenir au succès ?

Alors voici la simple question que je posai à cet homme d'apparence  si affable :

- Je ne sais pas si on vous a dé po cette question, et c'est peut être une question qui ne se pose pas, mais j'aimerais savoir comment vous avez fait pour arriver au succès. J'ai terminé mes études il y a quelques mois et je ne parviens pas à me trouver un emploi. Je commence à me demander si je ne vais pas finir mes jours dans mon Yellow cab...

Je ne mtais pas trom en pensant que Monsieur Goldsmith était sympathique,  car  il  se  fit  un  plaisir  de  répondre  non  seulement  à  cette question mais à toutes celles que je voulus bien lui poser pendant le trajet jusqu'à l'aéroport.

Vous  me  plaisez  jeune  homme,  car  je  crois  que  vous  êtes  une  des premières personnes à me poser cette question, à part, bien entendu, les journalistes (Je ne savais pas que Monsieur Goldsmith était connu. J'appris plus  tard  qu'il  était  propriétaire  d'une  des  plus  importantes  chaînes  de magasins de vente au détail des U.S.A.). D'ailleurs  je me demande bien comment il se fait que si peu de gens ne m'ont jamais posé cette question... C'est peut-être tout simplement qu'ils ne veulent pas vraiment ussir quoi qu'ils en disent...

Une des clefs de la réussite : s'entourer de gens qui ont du succès

Ce qui est admirable avec les gens qui ont réussi, peu importe dans quel domaine (je n'en connaissais pas beaucoup à l'époque, mais avec les années, j'ai rattrapé le temps perdu, car une des clés de la ussite est de s'entourer de  gens  qui  ont  dé réussi  ou  qui  ont  tout  pour  y  arriver)  ce  qui  est admirable donc c'est qu'ils deviennent tous philosophes d'une certaine manière...

En quel sens ?

C'est qu'ils peuvent en général expliquer en quelques mots comment ils ont réussi. Ils peuvent à brûle-pourpoint vous exposer les grands principes qui les ont me au sucs.

C'est d'ailleurs ce que n'a pas manqué de faire Monsieur Goldsmith. En fait en une toute petite heure, il me donna toutes les clés qui me permirent d'atteindre le succès.

Une heure qui changea ma vie toute entière

Oui, en une toute petite heure.

Les gens qui ont du succès ont en général un esprit pénétrant qui leur permet d'aller droit au cœur des choses...

Ma conversation avec Monsieur Goldsmith mtonna à divers titres. Premièrement ce fut tout sauf le long monologue doctoral auquel j'aurais été en droit de m'attendre de la Part d'un homme d'expérience s'adressant à un néophyte...

Ce fut plutôt une véritable maïeutique (la maïeutique c'est la méthode d'enseignement de Socrate qui procédait continuellement par question- réponse, avec une logique implacable qui ne manquait pas de dérouter ses adversaires. Mais le but du célèbre philosophe d'Athènes était de faire accoucher les esprits et non pas de les mettre en boite...).


J'avais beaucoup d'objections en tête

Moi-même j'avais beaucoup d'objections en te. Et il en est plusieurs dont je   n'avai mêm pas   conscience   (Elles   son d'ailleur encore   plus dangereuses et pernicieuses que les autres) Aussi essayez sans attendre le petit exercice.  Prenez une à une les questions  que je viens d'évoquer  et répondez-y   avec   tout l sincérité   et   l'applicatio nécessaire.   Vous apprendrez des choses étonnantes sur vous-même.

C'est capital. Car tant et aussi longtemps que vous ne vous conntrez pas, vous ne réussirepas. Pour une raison bien simples que vous vous connaîtrez, vous conntrez du même coup les autres hommes. Vous saurez vous entourer. Vous saurez à qui demander conseil.

Dès que vous vous connaîtrez, vous pourrez devenir maître de votre être, et dès lors maître de votre vie. Vous pourrez devenir maître au lieu de rester esclave toute votre vie...
N'est-ce pas ce que vous souhaitez ?

N'en avez-vous pas assez de subir les événements, d'être à leur merci, au lieu de pouvoir diriger votre destinée comme ceux qui ussissent ?

Dès que vous vous connaîtrez, vous connaîtrez les lois de la vie, les lois spirituelles du succès, qui sont profondes et ne souffrent aucune exception. Et votre vie du même coup se trouvera transformée.

Alors, n'attendez plus, partez à la découverte de vous-même. Reprenez une à une les questions et répondez-y. Faites-le comme un jeu si vous voulez. Mais n'oubliez pas qu'il s'agit peut- être du jeu le plus important de votre vie.

Pas de succès sans échecs

Au bout d'une heure, Monsieur Goldsmith m'avait liv tous ses secrets. J'ai bien compris avec le temps que seul celui qui a vraiment réussi peut livrer ses secrets en si peu de temps.

Pourquoi ?

Parce que pour lui, tout est clair. Il ne s'agit pas de vagues théories prises dans des ouvrages confus et purement abstraits. Il parle de sa propre expérience,  de  sepropres  succès  et  aussi  bien  entendu  de  sepropres échecs car il n'est pas de succès, si grand soit-il, qui n'ait été accompagné d'échecs !

Lorsque Monsieur Goldsmith quitta ma voiture, je remarquai quelque chose que je n'avais pas observé jusque-là, et qui pourtant était très visible : mon passager  était  affligé  d'un  très  rieux  défaut,  pour  npas  dire  d'une infirmité : IL BOITAIT ! Il devait même soutenir sa marche hésitante avec une canne, du reste fort belle, en bois noir.

Monsieur Goldsmith se tourna à ce moment-même vers moi. Il comprit que je découvrais son infirmité. Et pourtant il me gratifia d'un large sourire. Un sourire dont je me souviendrai toute ma vie. Il y avait tant de joie, tant de jeunesse, et tant d'optimisme dans ce sourire. C'était un sourire qui semblait dire à la vie le mot le plus simple et le plus beau qui soit : OUI !

Dites-vous "non" à la vie ?

Arrêtez-vous un instant, je vous prie, ami lecteur, et demandez vous si en votre for intérieur vous dites vous aussi OUI à la vie ou si à la place vous ne dites pas NON...


Car avec les anes je me suis aperçu que la plupart des gens - qu'ils s'en rendent compte ou pas - disaient non à la vie.

Quand dit-on non à la vie ?

•    Quand chaque jour n'est pas l'occasion d'une te...

      Quand chaque jour ne nous permet pas d'échafauder des plans nouveaux et de nous rapprocher de notre objectif...

      Quand nous nous laissons gagner par le découragement au lieu de contre-attaquer...

      Quand nous ne voyons pas en chaque rencontre une occasion merveilleuse de nous enrichir à tout point de vue...

•    Quand nous nous fermons aux autres...

•    Quand nous laissons passer des occasions de réaliser nos rêves...

•    Quand nous manquons de confiance en nous-mêmes...

•    Quand nous avons peur...


La première règle d'or

Mais  voici  sans  plus  tarder  le  premier  secret  que  me  véla  Monsieur
Goldsmith.

EN CHAQUE OBSTACLE, EN CHAQUE ECHEC, EN CHAQUE DESAVANTAGE OU DEFAUT DONT VOUS AVEZ ETE AFFLIGE SE TROUVE LE GERME D'UN BENEFICE SUPERIEUR.

Le cas de Monsieur Goldsmith est évident. Jeune, il avait dû souffrir horriblemende cette infirmité. (En passant, le grand poète anglais Lord Byron souffrait également de claudication et ses biographes rapportent que cette infirmité fut déterminante dans la formation de son génie) Et pourtant au lieu de se courager, il avait pour ainsi dire fait de cette infirmité sa force la plus grande.

En  elle,  il  avait  puisé  sa  motivation,  sa  détermination.  Il  avait  voulu
COMPENSER pour ce faut de la nature.

Et il avait ussi. Les plaisirs que son infirmité lui avait refusés, il les avait trouvés dans d'autres sphères : dans celles du sucs financier, de l'accomplissement de soi...

Pensez aux grands hommes que vous connaissez, pas seulement à ceux qui emplissent les livres d'Histoire, mais à ceux qui sont encore vivants et qui vous entourent...



Bien sûr il en est certains qui paraissent avoir tout pour ussir. Mais ils sont l'exception. La plupart : ont affronter la cessité, les difficultés.

Charlie Chaplin était pauvre et orphelin.

La mère d'Albert Camus était femme de ménage.
Steven  Spielberg  (le  génial  alisateur  de  E.T.  et  de  Jaws)  était  un adolescent malingre et complexé dont tous les camarades riaient.

Honda, le génie japonais de la mécanique, avoue dans son autobiographie qu'il était très faible physiquement et qu'il voulut compenser cette faiblesse, qui faisait la risée de ses copains, en cant  des machines  puissantes  et rapides...

Woody Allen, malg sa laideur et sa timidité, est devenu non seulement un des  réalisateurs  les  plus  prisés  du  monde  entier  mais  un  véritable  sex symbol...



Un pas de plus, et le succès est à votre portée

Evidemment,  il n'y  a pas que les handicaps  physiques  qupuissent  être surmontés... Le manque d'instruction, la pauvreté, les difficultés initiales, tout cela peut servir de levier, de tremplin à votre succès futur i

Plus encore, de nombreux hommes d'affaires à succès ont avoué que ce fut souvent IMMEDIATEMENT APRES UN ECHEC RETENTISSANT qu'ils connurent le succès le plus éclatant.

Rappelez-vous  de  cette  curieuse  ironie  du  sort  LORSQUE  LA TENTATION D'ABANDONNER VOUS VIENDRA.

Souvent un seul pas de plus, et le succès est à votre portée...



Deuxième règle d'or : vous valez beaucoup plus que vous ne pensez !

Le secret de votre valeur véritable, c'est que celle-ci est beaucoup plus considérable que vous ne croyez. Peu importe votre situation actuelle, les handicaps et les complexes que vous pouvez avoir, vous pouvez tous les transformer à votre avantage, en faire des atouts, des stimulants si puissants qu'ils vous catapulteront vers des sommets insoupçonnés...



Votre potentiel est immense. Et les obstacles que vous avez pu rencontrer, les échecs - parfois cuisants il est vrai -que vous avez dû essuyer, eh bien ils sont votre richesse. Au lieu de les considérer négativement, vous pouvez en tirer un enseignement profond et profitable. Il n'y a pas de honte à faire une erreur. Ce qui est bête, c'est  de ne pas en tirer de leçons pour l'avenir !

Votre jeunesse est un atout !

Mais me direz-vous,  mon principal handicap, c'est ma jeunesse. Je vous imagine en effet, frais émoulu de l'école, plein d'espoir et de ves. Dipme en main. Vous avez travaillé fort pour obtenir ce diplôme. Et pourtant on vous répond partout qu'il n'y a pas de poste disponible, qu'on n'embauche que des gens qui ont de l'expérience...

Et vous n'êtes pas plus avancé... Vous ne demandez précisément rien d'autre que d'acquérir cette si précieuse expérience...

Ne vous en faites pas... Bien sûr l'expérience peut être un atout précieux... Mais votre jeunesse également vous sera utile, si vous savez vous en servir...

Faisons un petit recensement de ce que vous avez dans votre besace, de ce que vous pouvez offrir... Car cette jeunesse que certains employeurs repoussent, elle intéressera d'autres entrepreneurs qui savent quelle richesse elle recèle.., des entrepreneurs plus jeunes et plus dynamiques...

Savez-vous que Steve Job, le fondateur de la compagnie d'ordinateur Apple, avait à peine vingt ans lorsqu'il mit sur pied les fondements de ce qui allait devenir son empire ? Et saviez- vous que  tous ses principaux collaborateurs avait le même âge que lui ?

Saviez-vous que plusieurs sociétés fort importantes ont des programmes spéciaux pour embaucher de jeunes talents ?

Parce qu'elles ont compris qu'à côté de l'inexpérience de la jeunesse, il y a :

L'enthousiasme

L'innovation

L'énergie

La spontanéi

L'ouverture d'esprit

Les nouvelles méthodes


Oui, ces sociétés avant-gardistes ont compris cela et elles investissent dans la jeunesse, elles investissent dans l'avenir!

                                                                                                                 3ème règle d'or

Savez-vous ce que vous voulez ?

Un des secrets les plus importants que me révéla Monsieur Goldsmith ne manqua pas de me surprendre. En fait, il me l'expliqua en restant fidèle à sa méthode maïeutique. Il me posa tout simplement cette question :

- Si tu n'as pas de succès, c'est peut-être que tu ne sais pas
vraiment ce que tu veux... Sais-tu vraiment ce que tu veux ? Pourraistu me le dire en quelques mots ?

Inutile de dire que sa question me prit au dépourvu. Lorsque nous ne savons pas exactement où nous voulons aller nous nous retrouvons presque invariablement à un endroit nous ne voulions pas aller, me dit Monsieur Goldsmith.

Et il réitéra sa question : Qu'est-ce que tu veux au juste ?

Bien  r  je  voulais  avoir  un  emploi,  munérateur  et  qui  me  permette d'utiliser toutes mes facultés .

Mais lequel au juste ? Je ne le savais pas.
Monsieur Goldsmith me dit alors que la meilleure manière de bien définir son objectif consistait tout simplement à prendre un crayon et à l'écrire noir sur blanc.

C'est ce que je vous propose de faire maintenant. Cet acte est plus important que vous ne croyez. En notant votre objectif, en mettant votre ve en mots, vous FAITES LE PREMIER PAS VERS SA REALISATION.

Vous vous engagez par rapport à vous-même.

Et vous utilisez également une autre loi plus secrète et mystérieuse. Lorsque Monsieur Goldsmith me l'a vélé je suis resté sceptique. Mais j'en ai par la suite vu tant de confirmations que je ne puis qu'avoir la certitude qu'elle est rigoureusement vraie.

Et que dit cette loi spirituelle secrète ?
Elle affirme qu'en écrivant votre objectif (avec le plus de détails possible : c'est très important) vous mettez en marche des forces invisibles et secrètes. Des forces très puissantes. Vous avez sans doute entendu parler du vieil adage  alchimique  qui  dit  que  TOUT  CE  QUI  EST  EN  HAUT  EST COMME CE QUI EST EN BAS.
Chacune de vos pensées est un acte

Eh bien en écrivant votre objectif, vous émettez des pensées précises et claires, vous envoyez dans le monde une pensée qui tôt ou tard tendra à se réaliser. Vous faites un programme pour CE QUI EST EN HAUT, c'est-à- dire dans le monde  des idées, un programme  qui se réalisera  EN BAS, puisque ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.

Chacune de vos pensées est un acte. Elle contient une grande puissance, c'est pour cela que vous devez tendre à n'émettre que des pensées positives. Car ce sont vos pensées qui se manifesteront dans votre vie. En fait votre vie n'est qu'un reflet exact de vos pensées. Les circonstances se plient toujours à votre état d'esprit, elles en sont le miroir fidèle.

Voici pourquoi l'exercice qui consiste à crire précisément votre objectif professionnel est si important et si déterminant dans votre succès. En effectuant ce petit exercice qui peut vous paraître insignifiant et qui pourtant est magique, voici quelques règles qui vous seront utiles : (Notez en passant que cet exercice - on devrait l'appeler cette clé - n'est pas seulement valable pour  vos  objectifs  professionnels  mais  pour  tous  vos  rêves,  jdis  bien TOUS VOS REVES ! Même les plus fous. Voici donc quelques règles très importantes  qui mettront en oeuvre certaines forces inconscientes qui vous aideront à atteindre vos objectifs.)

6 règles d'or pour réaliser vos rêves

1. Soyez le plus précis possible.

Ce qui est vague, imprécis a fort peu de chances de se réaliser. C'est une des raisons pour lesquelles il est si important de noter par écrit votre objectif.

2. Ajoutez le plus de détails possible.

Pour  que votre rêve se alise  vous  devez  le crire  avec une foule  de détails. Ces détails sont très importants. Il y a un proverbe américain qui dit: God dwells in details. Ce qui signifie : Dieu réside dans les tails. Les détails  nourriront  votre  esprit  profond  (subconscient).  N'oubliez  paque notre esprit pense plus facilement en images.

3. Représentez-vous dé en possession de ce que vous voulez obtenir.

Voici une règle capitale. Pour hâter la alisation de vos désirs, imaginez- vous que vous avez déjà obtenu leur réalisation.

Par exemple pour l'emploi dont vous rêvez, imaginez-vous au cours de l'entretien d'embauche. Le recruteur est impressionné par votre assurance et par la pertinence de vos réponses. A la fin de l'entretien il se lève et vous tend la main pour vous féliciter et vous souhaiter la bienvenue au sein de l'entreprise. Vous avez réussi. Vous l'entendez qui répète : JE VOUS FELICITE.  (Cette méthode vous paraît peut-être  naïve et simpliste  mais saviez-vous quel personnage cébre y recourait régulièrement ? Vous êtes intrig n'est-ce   pas   ?   Vou croyez   qu semblable méthodes   ne s'adressaient qu'à des gens munis? Eh bien détrompez vous ! Par exemple le grand poète allemand Goethe y recourait très régulièrement, chaque fois qu'il se sentait un peu déprimé {Eh oui, même les grands hommes se sentent parfois déprimé et ont besoin de petits trucs pour se remonter!!!) Le soir, avant de s'endormir, il se représentait mentalement en présence de son meilleur  ami  (peut-être  le  poète  Schiller...)  qui  lui  répétait  :  JE  TE FELICITE !!!)

Représentez-vous  dans  votre  nouveau  bureau.  Il  est  vaste,  très  éclairé, joliment décoré. Vous vous sentez drôlement confiant et content de votre nouvelle position. Vos nouveaux collègues vous sont présentés à tour de le. Ils sont enchantés de vous rencontrer.

4. Ne vous censurez pas dans l'établissement de votre objectif.

Laissez votre raison raisonneuse de té. N'exercez pas votre sens critique. C'est un peu comme dans une séance de brainstorming. Laissez toutes les idées couler librement.

Et n'ayez pas peur de manquer d'audace. Si vous manquez d'audace vous serez le premier pénalisé. Pourquoi ? Eh bien parce qu'un objectif audacieux se réalise aussi facilement qu'un objectif plus modeste. Alors pourquoi se contenter de moins quand on peut avoir plus, quand on peut avoir tout ce qu'on désire.

Je sais que ces idées peuvent vous surprendre. Vous avez été habitué à vous limiter,  à  croire  qu'il  faut  travailler  très  fort  pour  obtenir  de  maigres résultats.



5. Relisez tous les soirs avant de vous endormir votre objectif, au moins vingt fois d'affilée.

Lisez-le à HAUTE VOIX. Cela est très important. En répétant ainsi votre objectif, vous vous familiariserez avec lui. Il fera partie de vous. C'est très important surtout si vous avez choisi (et je vous en félicite) de prendre un objectif audacieux. Car un objectif audacieux vous paraît plus difficile à



atteindre, il vous paraît étranger. C'est pour cela qu'il faut le répéter souvent pour le rendre plus familier...

6. Bannissez la peur, qui est votre plus grand ennemi. La peur est le résultat d'une mauvaise compréhension de la vie, et d'un manque d'estime de soi.

Ce qui est terrible avec la peur, c'est que ce que nous craignons ne manque pas de se réaliser, si nous persistons dans nos craintes, car la peur est une pene, - une pensée très puissante puisqu'elle est chargée d'émotion -. Elle tend donc à se aliser comme toute autre pensée.


Le monde selon Shirley McLaine...

La célèbre actrice américaine Shirley McLaine explique dans son fameux best-seller MIROIR SECRET :

"Colin  et  moi  commencions  à  comprendre  que  la  lutte,  le  conflit  et  la douleur n'étaient pas toujours cessaire dans le processus créatif. En réalité, pour nous, c'était dé du passé. C'est surtout (c'est moi qui souligne) parce que l'on croit que l'on a besoin de surmonter des difficultés que l'on se crée des obstacles  et des empêchements  dont on pourraifort bien se passer. (Interrompez je vous prie votre lecture, au moins quelques secondes et réfchissez à cette pene. Ne vous est-il jamais arrivé de vous créer des obstacles volontairement, ou de tolérer des difficultés qui ne venaient que vous "permettre" d'avoir du succès, parce que quelque part en vous vous auriez eu mauvaise conscience  d'avoir un succès sans avoir préalablement lutté...)  J'appelai  donc Jack Pursel  pour une raison  précise.  Nous avions donné notre premier script de trois heures aux gens d'ABC, et la réponse de Stan n'était pas très enthousiaste. Je fis part de mes inquiétudes à Jack qui demanda conseil à Lazaris. Sa réponse était très claire :

                                                                     4ème règle d'or : libérez-vous de la peur

N'y a-t-il pas en vous une peur secrète ? Une peur qui vous empêche de décrocher ce poste ? Ou même la croyance, encore plus pernicieuse que vous ne pouvez pas obtenir ce poste ? Que la concurrence est trop forte (c'est vrai qu'objectivement, il y a beaucoup de chômage et de concurrence).

Hais soyez persua que votre poste existe et qu'il n'en tient qu'à vous de l'obtenir s que vous aurez chassé la crainte et le doute en vous, s que vous  serez  persuadé  que  vous  pouvez  le  décrocher  rapidement  et  sans grandes difficultés. Les choses se passeront alors naturellement, comme par magie.

Mais me direz-vous, comment se libérer de la peur, surtout si elle est inconsciente et profondément ancrée en vous ? Par la répétition constante de pensées contraires. En relisant le plus souvent possible votre objectif et en vous représentant en possession de votre nouvel emploi.


5ème règle d'or : faites le premier pas !

Beaucoup de candidats à un poste attendent passivement que les choses se produisent. Ils vivent dans un attentisme souvent plein d'inquiétude et de crainte. Un des grands secrets que m'a conf Monsieur Goldsmith est tout simplement  de faire le premier pas. Qu'est-ce que cela veut dire ? Tout simplement que pour impressionner favorablement votre futur employeur,



La loi éternelle de la compensation

En faisant le premier pas, vous mettez en marche une loi très ancienne et universelle. Comme disait le philosophe Emerson, vous mettez pour ainsi dire Dieu dans votre dette. Mais cédons-lui la plume:

"Aimez, (ou sous une autre forme faites le premier pas vers votre employeur et il en fera un vers vous, ou un autre employeur le fera car il existe une justice immanente qui ne souffre aucune exception) aimez, donc, et vous serez aimé. Tout amour (et de la même manière tout travail) est mathématiquement  juste,  aussi  juste  que les deux  termes  d'une  équation algébrique. L'homme bon possède un bien absolu qui, comme le feu, ramène tout à sa propre nature, de sorte que vous ne pouvez lui faire aucun mal...

Durant toute leur vie, les hommes souffrent d'une superstition absurde - à savoir qu'on peut les tromper. Mais il est aussi impossible à un homme dtre trom par qui que ce soit, excepté lui-même, qu'à une chose d'être, et en même temps de ne pas être. En toutes nos transactions, il y a un tiers. La nature, l'âme des choses prend sur elle-même de garantir l'exécution de tout contrat, de sorte qu'un honnête service ne peut aboutir à une perte. Si vous servez un maître ingrat, ne l'en servez que mieux. Mettez Dieu dans votre dette. Pour chaque coup vous serez indemnité. Plus le paiement est différé, mieux cela vaut pour vous : car ajouter les intérêts composés, voilà la règle et la coutume de ce tsorier-là."

Voilà  pourquoi  vous  devez  faire  le  premier  pas  et  ne  pas  avoir  peur d'investir du temps et de l'énergie pour poser une candidature ou pour entreprendre un projet dont l'issue peut paraître incertaine, du moins à ceux qui ne connaissent pas encore les grandes lois spirituelles du succès. Cela vous distinguera  de la masse  et vous impressionnerez  favorablement  les gens importants.


6ème règle d'or: plus on donne plus on reçoit !

Une des conséquences les plus naturelles et les plus logiques de lternelle loi de la compensation qu'énonça Emerson, est que plus on donne plus on reçoit. Cela se comprend aisément. C'est une application directe de la loi de compensation.

Monsieur Goldsmith me dérouta lorsqu'il m'expliqua ce qutait à ses yeux un homme à succès ou un homme riche. J'avais beaucoup de préjugés è cet égard. Ne croit-on pas, en ral, qu'un homme riche est quelqu'un qui n'a cessé d'extorquer aux autres leurs biens, pour s'enrichir égoïstement ?

Un homme riche (et heureux, car il y a des hommes riches qui ne sont pas heureux, ce sont ceux qui se sont enrichis malhonnêtement) est un homme qui a beaucoup donné aux autres. Il a donné par son labeur incessant, par les services qu'il a rendus, en créant un nouveau produit, en offrant un meilleur service qui a facilité la vie de ses contemporains. Plus le service, plus le produit qu'il a fourni a aidé les autres, plus en échange il a reçu la compensation matérielle. En agissant pour les autres, il leur a envoyé de l'amour, il les a aidés. Et la fortune qu'il a amassé n"est que le signe matériel de la reconnaissance des autres.

Celui qui est fort, celui qui veut connaître un succès éblouissant, doit faire le premier pas. Il ne doit pas attendre. Il doit donner. Le plus abondamment possible. Inévitablement, il recevra en retour une moisson, une richesse abondante! Ceci est une loi éternelle qui ne souffre pas d'exception.

Si, parfois, on a l'impression que la loi n'est pas respectée c'est que pour certaines raisons il s'écoule parfois du temps avant que le fruit ne puisse être récolté.

Mais n'en est-il pas ainsi pour l'homme qui me du blé ? Il y a une saison pour les semailles, et une saison pour  la moisson!l!

                                                                   Le secret ultime

Juste  avant  de  me  quitter,  quelques  minutes  avant  d'arriver  à l'aéroport, Monsieur Goldsmith prit un air grave.

Il avait perdu subitement  le sourire qui flottait  depuis le début de notre conversation sur ses lèvres.

- Je vais maintenant te confier le secret ultime, dit-il.

La vie est une école a-t-on dit fort justement. Mais c'est une école l'on enseigne quoi au juste ?

Je ne sus trop quoi lui répondre.




La me règle d'or

- Ce qu'on apprend à cette école, c'est tout simplement à se connaître soi- même et à devenir maître de son propre esprit. Lorsque tu maîtriseras ton esprit, tu maîtriseras ta destinée. Tu obtiendras littéralement TOUT CE QUE TU VEUX! En devenant maître de ton esprit, tu comprendras une grande véri concernant ta vie, ton travail, enfin tout ce qui te tient à ur. Et cette véri est la suivante : TOUT CE QUE L'ESPRIT HUMAIN CROIT QU'IL PEUT ACCOMPLIR, IL PEUT L'ACCOMPLIR.

A chaque fois que tu rencontres un échec ou une difficulté, fais un examen très  sérieux  de  ton  âme  et  demande-toi  si  dès  le  départ  tu  n'étais  pas persuadé que tu échouerais. Si tu avais des doutes, si tu avais des craintes, c'est que tu croyais que tu échouerais. Et en vertu de la logique la plus élémentaire, et pourtant le plus méconnue, tu as échoué.


Vous obtiendrez une personnalité magnétique

Ma formule donne la puissance de l'être. Une puissance formidable. Une puissance qui vient du plus profond de l'être. Une puissance que tous les gens qui entreront en contact avec toi ressentiront immédiatement. Ce qui fait que tu obtiendras une personnalité hautement magnétique.

La puissance est au fond ce que chacun recherche. Qu'ont en commun tous les gens qui ont réussi ? L'argent bien sûr. Des relations aussi. Mais ils ont surtout la puissance. Et contrairement à ce que l'on croit géralement, cette puissance ce n'est pas le succès qui la leur a don. Bien r la réussite a pu augmenté leur puissance personnelle. Mais cette puissance qui a assu leur succès, ils la possédaient tous AVANT.



Et c'est précisément cette puissance personnelle qui a pa la voie de leur succès. C'est cette puissance qui a ouvert toutes les portes devant eux. C'est cette  puissance  qui  leur  a  permis  d'influencer  les  gens  et  de  les  faire participer à leur succès.


Pour développer votre confiance en vous

Avec la puissance vient la CONFIANCELa confiance qui nous permet d'entreprendre les projets les plus audacieux. Qui nous permet de traverser les difficultés. Et de nous relever après un cuisant écheC. La confiance qui entraîne dans notre sillon tous ceux que nous rencontrons, car la plupart des gens manquent de confiance en eux.


Avec la puissance  et la confiance,  l'homme  reçoit  tout naturellement  en héritage le bonheur et la santé (qui n'est qu'un reflet de notre âme}. Une âme puissante et confiante reçoit en partage le bonheur et un corps sain.

Tous les soirs avant de t'endormir, moment favorable entre tous pour impressionner ton esprit profond, répète cent fois d'affilée cette formule. 100 fois d'affilée! Cela peut te paraître beaucoup. Mais cela ne te prendra que quelques minutes. Quelques minutes qui transformeront ta vie. Si tu veux avoir des effets encore plus rapides et profonds, répète cette formule 200



fois, 500 fois. Réte-la également le matin juste après t'être éveillé. Tu verras au bout de quelques jours à peine, la formule agira, je t'en donne l'assurance la plus formelle. C'est la clef du bonheur et de la richesse.


Grâce â cette formule secrète, tous les objectifs que tu as pris soin d'écrire sur un papier, se réaliseront. Comme par magie, les circonstances se produiront,  toutes  les  choses  smettront  en  place.  Tu  rencontreras  les bonnes  personnes.  Au  bon  moment.  Tu  ne  laisseras  plus  passer  des occasions de succès, comme par le passé.

Ton esprit deviendra de plus en plus puissant. Tu en seras le premier étonné. Les  gens  autour  de  toi  obéiront  à  tes  désirs  et  â  tes  souhaits  les  plus profonds. Tu cesseras d'être un esclave des circonstances pour devenir un MAITRE. Les événements se plieront à ta volonté dont la force aura une puissance nouvelle et formidable.


La plus grande puissance

En répétant cette formule qui fera désormais partie de ta vie, non seulement, tu acquerras une puissance qui fera de toi un homme totalement nouveau, mais tu verras éclore en toi la sagesse intérieure. Tout ce que j'ai pu te dire, tous les principes que je t'ai exposés, tu les comprendras de l'intérieur, non pas avec ton seul intellect mais avec ton cœur.

Tu acquerras la compréhension  elle des choses, des êtres et de la Vie. Alors tu comprendras que la plus grande puissance est celle de l'Amour. Tu comprendras que la meilleure manière d'avoir du succès, c'est d'ailleurs la seule manière, c'est D'AIDER LES AUTRES. Car en aidant les autres c'est soi-même que l'on aide.

Alors chaque fois que tu as unesitation, chaque fois que tu te demandes si ton  action  est  juste,  ston  projet  est  louable  et  s'il  t'apportera  succès, prospérité et bonheur, demande-toi : EST-CE QUE CELA AIDE LES AUTRES ?


8ème règle d'or : aider les autres

Sois honnête avec toi-même. Si ta réponse est non, alors renonce au projet. Il ne t'apportera que soucis et pertes de toutes sortes.

Je  dois  maintenant  partir.  Je  t'ai  donné  la  clé  de  mon  succès.  Tu  as maintenant tout ce qu'il te faut pour connaître le succès dans tout ce que tu entreprends. Et devenir pleinement positif. Il y a une seule chose que je ne peux faire à ta place : c'est de péter pour toi la formule secrète que t'ai confiée. Tu peux donc décider de ta vie et de ton destin A PARTIR D'AUJOURD'HUI. Le feras-tu ? Où feras-tu comme la majorité des gens qui sont victimes des événements ? A toi de choisir !!!