Quel est le secret des hommes à succès ?
Lorsque j'étais jeune (je vous signale que je le suis encore, car je
n'ai que 42 ans et à la vérité je me sens beaucoup plus jeune que lorsque j'avais vingt ans de moins car alors je ne possédais pas encore le
secret mystérieux du succès), lorsque j'étais jeune donc, il m'arrivait souvent d'aller à l'aéroport...
A la vérité, j'y allais au moins une dizaine de fois par semaine...
Hélas ce n'était pas pour prendre l'avion vers des destinations chaque fois nouvelles... C'était tout
simplement pour accompagner des gens
:
je conduisais un taxi !
Eh oui, pour payer le coût de mes études, (ma famille n'était guère fortunée)
j'occupais presque tous mes temps libres à conduire des gens à l'aéroport...
Les uns voyageaient pour affaires
vers les grandes capitales du monde, les autres prenaient des
vacances... Souvent je
reprenais les
clients que j'avais
déposés quelques jours (ou quelques semaines) auparavant... Plus bronzés
ou plus riches...
Je ne sais pas qui a
dit que l'argent ne fait pas le bonheur. (Je dois cependant vous dire que j'ai ma petite
idée là-dessus : à mon humble avis - et vous n'êtes nullement tenu de le
partager- il s'agit soit de quelqu'un qui n'a jamais "gagné un rond" mais qui aurait bien aimé le faire, ou de quelqu'un (et je penche plutôt
de ce côté-là) qui était très riche, mais plutôt égoïste et ne voulait pas vendre la mèche.).
Quoi qu'il en soit, il ne m'a guère fallu de temps - au plus quelques centaines de passagers - pour me rendre compte de quel côté mon cœur penchait. On dit que dans la vie il faut savoir ce que l'on veut. Eh bien ce que je voulais était bien simple : c'était de cesser un jour (pas seulement un jour mais tout le reste de ma vie) de conduire les gens à l'aéroport et d'être celui qui se faisait conduire !
Simple n'est-ce pas ? Je
suis sûr que vous en conviendrez... Seulement voilà. Comment faire ?
La modestie de ma naissance (mon absence de
contacts et d'argent) ne m'interdisait-elle pas de pouvoir un jour réaliser mon rêve qui était de faire ce qui me plaisait :
et d'être payé pour le
faire : de préférence plutôt bien que mal ?
Mon rêve, je vous le donne en mille, c'était de travailler dans une grande agence de
publicité sur Madison Avenue à New York où l'on retrouve la plupart des grandes agences des U.S.A., et, partant, du monde entier...
Je sentais que j'avais en moi tout le talent nécessaire
pour le faire... Et pourtant je conduisais toujours mon Yellow cab (Au cas où vous l'ignoriez, c'est le nom qu'on donne aux taxis jaunes de New York : à tous les taxis donc car ils sont tous jaunes...).
Les touristes les trouvent d'ailleurs très poétiques ces taxis : et pour cause ! Ce ne sont pas eux qui les conduisent
dans les rues bruyantes
de New York...
Même que mes études, je
les avais terminées depuis plusieurs mois déjà et le super emploi dont je rêvais, je ne réussissais pas à l'obtenir... Partout où j'allais, on
me
servait la même réponse, sans presque de variantes
: "Vous n'avez pas d'expérience. Nous n'engageons que
ceux qui
ont de l'expérience..."
Comme cercle vicieux, difficile d'imaginer mieux, vous en conviendrez. D'ailleurs vous n'avez sans doute pas à creuser
trop votre mémoire pour vous souvenir d'avoir essuyé de semblables refus...
Conduire un taxi (pas n'importe lequel comme vous venez de voir mais un célèbre Yellow Cab) n'est peut-être pas très payant. Mais cela
porte à réfléchir. Lorsqu'on est jeune, ambitieux, et que
les
circonstances contrarient nos ambitions,
on se met tôt ou tard à réfléchir...
Devrais-je enterrer
mes ambitions ?
D'ailleurs puisque le
ton
est à la confidence, aussi bien poursuivre... Mon appartement (j'appelle cela appartement à défaut de trouver
un autre mot pour décrire le lieu infecte et exigu que j'habitais) était si
déprimant que je préférais passer le
plus de temps possible dans mon yellow cab plutôt que de m'infliger le
spectacle
de
mes
quatre murs
d'une
couleur plus que douteuse...Et je passe sous silence les odeurs singulières qui "embaumaient" les lieux...
Quelle forme prenaient mes "méditations"
? Elles étaient très simples... Lorsque ma voiture était arrêtée, et que je faisais la file à l'aéroport avec mes
"collègues", je me demandais
souvent
(et ces pensées
n'étaient
pas sans
m'inquiéter)
- Ces autres chauffeurs, il y a
quelques années, n'avaient-ils pas les mêmes rêves que moi ?
- N'avaient-ils pas un jour, comme moi, rêvé de mener la grande vie, ou tout au moins d'avoir un emploi respectable et respecté?
- N'avaient-ils
pas
eu tout comme
moi
de grandes ambitions que les circonstances les avaient forcés d'enterrer ?
Pensées terribles, et en tout cas
qui me
terrifiaient. Qui sait peut-être qu'avec quelques refus de plus
et quelques dettes supplémentaires (j'en avais déjà d'assez lourdes) car je
ne
parvenais pas (mais qui y parvient) à adapter mes dépenses et
mes goûts (souvent extravagants) en fonction de mes revenus plutôt dérisoires... Oui qui sait, peut-être qu'avec quelques refus de
plus dans les grandes boîtes où j'avais en vain frappé, je me résoudrais à l'idée de passer toute ma vie dans mon
Yellow Cab...
Heureusement, mon regard ne se portait pas uniquement vers mes collègues
de travail, mais aussi vers mes passagers... Il
y avait plus d'espoir de ce côté- là, me semblait-il...
Quelle différence y a-t-il entre eux et moi ?
Dans mon rétroviseur, discrètement, j'observais mes passagers fortunés... Et je me posais des
questions essentielles... Des questions dont la
réponse allait m'ouvrir de nouveaux - et plus vastes - horizons!
Quelle
est à votre avis la première question que je me posais ? Et qui
d'ailleurs me revenait constamment à l'esprit, comme une obsession...
Eh bien cette question était la suivante : Qu'est-ce que cesgens ont que je
n'ai pas ?
Et vous ? Vous êtes-vous déjà posé cette question ? Qu'est-ce que les gens à succès ont que vous n'avez pas ? Pourquoi sont-ils différents de vous ?
Et d'ailleurs, sont-ils vraiment différents de vous ?
Ces pensées tournaient dans mon esprit de
plus en plus irrité par mes insuccès... (Il est sans doute vrai que les échecs forment le caractère mais trop de déboires successifs finissent parfois par aigrir et décourager).
Je contemplais les
visages de mes passagers. L'un
était
affligé
d'un appendice nasal qui aurait fait rougir d'envie Cyrano de Bergerac. Mais ce nez ne l'avait visiblement pas empêché de devenir très riche si j'en jugeais par son extrême élégance vestimentaire et par celle de sa compagne,
absolument ravissante, soit dit en passant.
Un autre était très maigre, et ses traits étaient
tout sauf réguliers. Et pourtant,
il se dégageait de lui une énergie peu commune. Et il possédait un charme exceptionnel.
Certains
s'exprimaient
avec
aisance,
d'autres
avec
un peu moins de facilité.
Qu'avaient-ils en commun ? Sous leurs divergences apparentes ? Voilà bien la question que je me posais.
Il devait bien y avoir quelque chose, un commun dénominateur ?
Un embouteillage m'ouvre les portes de la réussite
Un de mes passagers réguliers était un homme d'une quarantaine
d'années à la mine avenante.
Il souriait
presque
toujours. Ou
plus précisément,
un sourire imperceptible flottait continuellement sur ses lèvres. Souriait-il à la vie ? Où me souriait-il ? Pas facile de trancher la question.
La vie est pleine de ce
qu'on croit être des hasards. A la réflexion, avec cette distance que seul le temps permet, on se rend compte qu'il ne s'agissait pas du tout de hasards ou de coïncidences : ce ne sont que les détours que prennent les circonstances pour que nos désirs
profonds se réalisent, si tant est que notre esprit soit correctement dirigé...
C'est à un embouteillage que je
dois ma réussite. Eh oui, cela peut paraître
surprenant. Mais en conduisant ce sympathique passager à l'aéroport (son nom est Monsieur
John Goldsmith) il y eut un terrible embouteillage comme il y en a souvent à New York, et dans d'autres capitales je suppose...
Oui, je dois
mon
succès à
un embouteillage,
et
aussi
à
une audace
élémentaire. Bien souvent, nous avons tendance oublier, par gêne ou parce que nous croyons que
cela ne se fait pas, que lorsque nous voulons savoir quelque chose, il suffit bien souvent de le demander...
Cette règle d'or peut paraître un
peu
simpliste mais les
années m'ont démontré qu'elle était si fondamentale qu'il vaut la peine que
je
la mette en évidence : Il faut savoir demander !
Mais que demander au juste, me direz- vous ? Eh bien des questions très simples.
Premièrement demander ce que je brûlais de savoir... Le secret du succès... (Eh oui, je venais de réaliser que tous les jours j'étais en compagnie de présidents de compagnie, de millionnaires, de gens souvent célèbres et
que jamais
il
ne
m'était venu
à l'esprit, de leur
demander
très simplement
comment ils avaient fait pour arriver là... Ce que je pouvais être bête... Je laissais
passer tous les jours une chance exceptionnelle de demander conseil...).
Bien sûr, je n'étais que chauffeur de taxi... Ces gens si fortunés me mépriseraient peut-être. Ou ils m'éconduiraient. Mais qu'avais-je à perdre ? Pas grand chose au fond. Puisque je n'avais rien. Je perdrais seulement un peu de salive et de temps.
Comment avez-vous fait pour parvenir au succès ?
Alors voici la simple question que je posai à cet homme d'apparence
si affable :
- Je ne sais pas si on vous a
déjà posé cette question, et c'est peut être une question qui ne se pose
pas, mais j'aimerais savoir comment vous avez fait pour arriver au succès. J'ai terminé mes études il y a quelques mois et je ne parviens pas à
me
trouver un emploi. Je commence à
me
demander si je ne vais pas finir mes jours dans mon Yellow cab...
Je ne m'étais pas trompé en
pensant que Monsieur Goldsmith était sympathique, car il
se fit
un
plaisir
de répondre
non
seulement
à cette question mais à toutes celles que je
voulus bien lui poser pendant le trajet jusqu'à l'aéroport.
- Vous me
plaisez
jeune
homme,
car je
crois que vous êtes
une
des premières personnes à me poser cette question, à part, bien entendu, les journalistes (Je ne savais pas que Monsieur Goldsmith était connu. J'appris plus tard
qu'il était propriétaire
d'une des
plus importantes chaînes
de magasins de vente au détail des U.S.A.). D'ailleurs
je me demande bien comment il se fait que si peu de
gens ne m'ont jamais posé cette question... C'est peut-être tout simplement qu'ils ne veulent pas vraiment réussir quoi qu'ils en disent...
Une des clefs de la réussite : s'entourer de gens qui ont
du succès
Ce qui est admirable avec les gens qui ont réussi, peu importe dans quel domaine (je n'en connaissais pas beaucoup à
l'époque, mais avec les années, j'ai rattrapé le temps perdu, car une des clés de la réussite est de s'entourer de gens
qui
ont
déjà réussi ou qui
ont
tout
pour y arriver)
ce
qui est admirable donc
c'est qu'ils deviennent tous philosophes d'une
certaine manière...
En quel sens ?
C'est qu'ils peuvent en général expliquer en quelques mots comment ils ont réussi. Ils peuvent à brûle-pourpoint vous exposer les grands principes qui les ont mené au succès.
C'est d'ailleurs ce que n'a pas manqué de faire Monsieur Goldsmith. En fait en une toute petite heure, il me donna toutes les clés qui me permirent
d'atteindre le succès.
Une heure qui changea ma vie toute entière
Oui, en une toute petite heure.
Les gens
qui
ont du succès ont en
général un esprit pénétrant qui leur permet d'aller droit au cœur des choses...
Ma conversation avec Monsieur Goldsmith m'étonna à
divers titres. Premièrement ce fut tout sauf le long monologue doctoral auquel j'aurais été en droit de m'attendre de la Part d'un homme d'expérience s'adressant à
un néophyte...
Ce fut plutôt une
véritable maïeutique (la maïeutique c'est la méthode d'enseignement de
Socrate qui procédait continuellement par question- réponse, avec une logique implacable qui ne manquait pas de
dérouter ses adversaires. Mais le but du célèbre philosophe d'Athènes était de faire accoucher les esprits et non pas de les mettre en boite...).
J'avais beaucoup
d'objections en tête
Moi-même j'avais beaucoup d'objections en tête. Et il en est plusieurs dont
je n'avais même pas
conscience (Elles sont d'ailleurs encore plus dangereuses et pernicieuses que les autres) Aussi essayez sans attendre le petit exercice.
Prenez une à une les questions que je viens d'évoquer
et répondez-y avec toute la sincérité et l'application nécessaire.
Vous apprendrez des choses étonnantes sur vous-même.
C'est capital. Car tant et aussi longtemps que vous ne
vous
connaîtrez pas, vous ne réussirez pas. Pour une raison bien simple. Dès que vous vous connaîtrez,
vous connaîtrez du même coup les autres hommes. Vous saurez vous entourer. Vous saurez à qui demander conseil.
Dès que vous vous connaîtrez, vous pourrez devenir maître de votre être, et dès lors maître de
votre vie. Vous pourrez devenir maître au lieu de rester
esclave toute votre vie...
N'est-ce pas ce que vous souhaitez ?
N'en avez-vous pas assez de subir les événements, d'être à leur merci, au lieu de pouvoir diriger votre destinée comme ceux qui réussissent ?
Dès que vous vous connaîtrez, vous connaîtrez les lois de la
vie,
les lois spirituelles du succès, qui sont profondes et ne souffrent aucune exception. Et votre vie du même coup se trouvera transformée.
Alors, n'attendez plus, partez à la découverte de vous-même. Reprenez une à une les questions et répondez-y. Faites-le comme un jeu si vous voulez. Mais n'oubliez pas qu'il s'agit peut- être du jeu le plus important de votre vie.
Pas
de succès sans
échecs
Au bout d'une heure, Monsieur Goldsmith m'avait livré tous ses secrets. J'ai bien compris avec le temps que seul celui qui a vraiment réussi peut livrer ses secrets en si peu de temps.
Pourquoi ?
Parce que pour lui, tout est clair. Il ne s'agit pas de vagues théories prises dans des ouvrages confus et purement abstraits. Il parle de sa propre expérience, de ses propres
succès et aussi
bien
entendu de ses propres échecs car il n'est pas de succès, si grand soit-il, qui n'ait été accompagné d'échecs !
Lorsque Monsieur Goldsmith quitta ma voiture, je
remarquai quelque chose que je n'avais pas observé jusque-là, et qui pourtant était très visible : mon passager
était affligé
d'un très sérieux
défaut,
pour
ne pas
dire d'une infirmité : IL BOITAIT ! Il devait même soutenir sa démarche hésitante avec une canne, du reste fort belle, en bois noir.
Monsieur Goldsmith se tourna à ce moment-même vers moi. Il comprit que je découvrais son infirmité. Et pourtant il me gratifia d'un large sourire. Un sourire dont je me souviendrai toute ma vie. Il
y avait tant de joie, tant de jeunesse, et
tant d'optimisme dans ce sourire. C'était un sourire qui semblait dire à la vie le mot le plus simple et le plus beau qui soit : OUI !
Dites-vous
"non" à la vie ?
Arrêtez-vous un instant, je vous prie, ami lecteur, et demandez vous si en votre for intérieur vous dites vous aussi OUI à la vie ou si à la place vous ne dites pas NON...
Car avec les années je me suis aperçu que la plupart des gens - qu'ils s'en rendent compte ou pas - disaient non à la vie.
Quand dit-on non à la vie ?
• Quand chaque jour n'est pas l'occasion d'une fête...
• Quand chaque jour ne nous permet pas d'échafauder des plans
nouveaux et de nous rapprocher de notre objectif...
• Quand nous nous laissons gagner par le découragement au lieu de
contre-attaquer...
• Quand nous ne voyons pas en chaque rencontre une occasion merveilleuse de nous enrichir à tout point de vue...
• Quand nous nous fermons aux autres...
• Quand nous laissons passer des occasions de réaliser nos rêves...
• Quand nous manquons de confiance en nous-mêmes...
• Quand nous avons peur...
La première règle d'or
Mais
voici sans
plus
tarder
le
premier secret que me
révéla Monsieur
Goldsmith.
EN CHAQUE OBSTACLE, EN
CHAQUE ECHEC, EN CHAQUE DESAVANTAGE OU
DEFAUT DONT VOUS AVEZ ETE AFFLIGE SE TROUVE LE GERME D'UN BENEFICE SUPERIEUR.
Le cas
de Monsieur Goldsmith est évident. Jeune, il avait dû
souffrir horriblement de cette infirmité. (En passant, le grand poète anglais Lord Byron souffrait également de
claudication et ses biographes rapportent que cette infirmité fut déterminante dans la formation de son génie) Et pourtant au lieu de se décourager, il avait pour ainsi dire fait de cette infirmité sa force la plus grande.
En elle,
il avait
puisé
sa
motivation,
sa
détermination.
Il
avait
voulu
COMPENSER pour ce défaut de la nature.
Et il avait réussi. Les plaisirs que son infirmité lui avait refusés, il les avait trouvés dans d'autres sphères :
dans celles du succès financier, de l'accomplissement de soi...
Pensez aux grands hommes que vous connaissez, pas seulement à ceux qui emplissent les livres d'Histoire, mais à ceux qui sont encore vivants et qui vous entourent...
Bien sûr il en est certains qui paraissent avoir tout pour réussir. Mais ils sont
l'exception. La plupart : ont dû affronter la nécessité, les difficultés.
Charlie Chaplin était pauvre et orphelin.
La mère d'Albert Camus était femme de ménage.
Steven Spielberg (le
génial réalisateur
de E.T.
et de
Jaws) était un adolescent malingre et complexé dont tous les camarades riaient.
Honda, le génie japonais de la mécanique, avoue dans son autobiographie qu'il était très faible physiquement et
qu'il voulut compenser cette faiblesse,
qui faisait la risée de ses copains, en créant des machines puissantes
et rapides...
Woody Allen, malgré sa laideur et sa timidité, est devenu non seulement un des réalisateurs
les
plus prisés du monde entier
mais un véritable sex symbol...
Un pas de plus, et le succès est
à votre portée
Evidemment,
il n'y a pas que les handicaps
physiques
qui puissent
être surmontés... Le manque d'instruction, la pauvreté, les difficultés initiales, tout cela peut servir de levier, de tremplin à votre succès futur i
Plus encore, de nombreux hommes d'affaires à succès ont avoué que ce fut souvent IMMEDIATEMENT
APRES UN ECHEC RETENTISSANT qu'ils connurent le succès le plus éclatant.
Rappelez-vous de cette
curieuse ironie du sort
LORSQUE
LA TENTATION D'ABANDONNER VOUS VIENDRA.
Souvent un seul pas de plus, et le succès est à votre portée...
Deuxième règle d'or : vous valez beaucoup plus que vous
ne pensez !
Le secret de votre valeur véritable, c'est que celle-ci est beaucoup plus considérable que vous
ne
croyez. Peu importe votre situation actuelle, les handicaps et les complexes que vous pouvez avoir, vous pouvez tous les transformer à votre avantage, en faire des atouts, des stimulants si
puissants
qu'ils vous catapulteront vers des sommets insoupçonnés...
Votre potentiel est immense. Et les obstacles que vous avez pu rencontrer, les échecs -
parfois cuisants il est vrai -que vous avez dû essuyer, eh bien ils sont votre richesse. Au lieu de les considérer négativement, vous pouvez en tirer un enseignement profond et profitable. Il n'y a pas de honte à faire une erreur. Ce qui est bête, c'est de ne pas en tirer de leçons pour l'avenir !
Votre jeunesse est un atout !
Mais me direz-vous,
mon principal handicap, c'est ma jeunesse. Je vous imagine en effet, frais émoulu de l'école, plein d'espoir et de rêves. Diplôme en main. Vous avez travaillé fort pour obtenir ce diplôme. Et pourtant on vous répond partout qu'il n'y a pas de poste disponible, qu'on n'embauche que des gens qui ont de l'expérience...
Et vous n'êtes pas plus avancé... Vous ne
demandez précisément rien d'autre que d'acquérir cette si précieuse expérience...
Ne vous en faites pas... Bien sûr
l'expérience peut être
un
atout précieux... Mais votre jeunesse également vous sera utile, si vous savez vous en servir...
Faisons un petit recensement de ce que vous avez dans votre besace, de ce que
vous
pouvez offrir... Car cette jeunesse que
certains employeurs repoussent, elle intéressera d'autres entrepreneurs qui
savent quelle richesse elle recèle.., des entrepreneurs plus jeunes et plus dynamiques...
Savez-vous que Steve Job, le fondateur de la compagnie d'ordinateur Apple, avait à peine vingt ans lorsqu'il mit sur pied les fondements de ce qui allait devenir son empire ? Et
saviez- vous que tous ses principaux collaborateurs avait le même âge que lui ?
Saviez-vous que plusieurs sociétés fort importantes ont des programmes spéciaux pour embaucher de jeunes talents ?
Parce qu'elles ont compris qu'à côté de l'inexpérience de la jeunesse, il y a
:
L'enthousiasme
L'innovation
L'énergie
La spontanéité
L'ouverture d'esprit
Les nouvelles méthodes
Oui, ces sociétés avant-gardistes ont compris cela et elles investissent dans la jeunesse, elles investissent dans l'avenir!
3ème
règle d'or
Savez-vous ce que vous voulez ?
Un des secrets les plus importants que me révéla Monsieur Goldsmith ne manqua pas de
me surprendre. En fait, il me l'expliqua en
restant fidèle à
sa méthode maïeutique. Il me posa tout simplement cette question :
- Si tu n'as pas de succès, c'est peut-être que tu ne sais pas
vraiment ce que tu veux... Sais-tu vraiment ce que tu veux ? Pourraistu me le dire en quelques mots ?
Inutile de dire que sa question
me prit au dépourvu. Lorsque nous ne savons pas
exactement où
nous voulons aller nous nous retrouvons presque
invariablement à un endroit où nous ne voulions pas aller, me dit Monsieur
Goldsmith.
Et il réitéra sa question : Qu'est-ce que tu veux au juste ?
Bien sûr je
voulais avoir
un emploi,
rémunérateur
et qui me
permette d'utiliser toutes mes facultés
.
Mais lequel au juste ? Je ne le savais pas.
Monsieur Goldsmith me dit alors que la meilleure
manière de bien définir son objectif consistait tout simplement à prendre un crayon et à l'écrire noir sur blanc.
C'est ce
que je vous propose de faire maintenant. Cet acte est plus important que vous ne croyez. En
notant votre objectif, en mettant votre rêve en mots, vous FAITES LE PREMIER PAS VERS SA REALISATION.
Vous vous engagez par rapport à vous-même.
Et vous utilisez également une autre loi plus secrète et mystérieuse. Lorsque Monsieur Goldsmith me l'a révélé je
suis resté sceptique. Mais j'en ai
par la
suite vu tant de confirmations que je ne puis qu'avoir la certitude qu'elle est rigoureusement vraie.
Et que dit cette loi spirituelle secrète ?
Elle affirme qu'en écrivant votre objectif (avec le plus de
détails possible
: c'est très important) vous mettez en marche des
forces invisibles et secrètes.
Des forces très puissantes. Vous avez sans doute entendu parler du vieil adage
alchimique qui dit
que
: TOUT
CE
QUI EST EN HAUT
EST COMME CE QUI EST EN BAS.
Chacune
de vos pensées est un acte
Eh bien en écrivant votre objectif, vous émettez des pensées précises et claires, vous envoyez dans le monde une pensée qui tôt ou tard tendra à
se réaliser. Vous faites un programme pour CE QUI EST EN HAUT, c'est-à- dire dans le monde des idées, un programme
qui se réalisera EN BAS, puisque ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.
Chacune de vos pensées
est un acte. Elle contient une grande puissance,
c'est pour cela que vous devez tendre à
n'émettre que des pensées positives. Car ce
sont vos pensées qui
se manifesteront dans votre vie. En fait votre vie n'est qu'un reflet exact de vos pensées. Les circonstances se plient toujours à votre état d'esprit, elles en sont le miroir fidèle.
Voici pourquoi l'exercice qui consiste à
décrire précisément votre objectif professionnel est si important et si déterminant dans votre succès. En effectuant ce
petit exercice qui peut vous paraître insignifiant et
qui
pourtant
est magique, voici quelques
règles qui vous seront utiles : (Notez en
passant
que cet exercice - on devrait l'appeler cette clé - n'est pas seulement valable
pour vos objectifs
professionnels mais pour tous
vos rêves, je dis bien TOUS VOS REVES !
Même
les plus fous. Voici donc quelques règles très importantes qui mettront en oeuvre certaines forces inconscientes qui
vous aideront à atteindre vos objectifs.)
6 règles d'or pour
réaliser vos rêves
1. Soyez le plus précis possible.
Ce qui est vague, imprécis a fort peu de chances de se réaliser. C'est une des raisons pour lesquelles
il est si important de noter par écrit votre objectif.
2. Ajoutez le plus de détails possible.
Pour que votre rêve se réalise
vous
devez le décrire avec une foule de détails. Ces détails sont très importants. Il y a
un
proverbe américain qui dit: God dwells in details. Ce qui signifie : Dieu réside dans les détails. Les détails nourriront votre
esprit profond (subconscient).
N'oubliez pas que notre esprit pense plus facilement en images.
3. Représentez-vous déjà en possession de ce que vous voulez obtenir.
Voici une règle
capitale. Pour hâter la réalisation de vos désirs, imaginez- vous que vous avez déjà obtenu leur réalisation.
Par exemple pour l'emploi dont vous rêvez, imaginez-vous au cours de l'entretien d'embauche. Le recruteur est impressionné par votre assurance et par la pertinence de vos réponses. A la fin de l'entretien il se lève et vous tend la main pour vous féliciter et vous souhaiter la bienvenue au sein de l'entreprise. Vous avez réussi. Vous l'entendez qui répète :
JE VOUS FELICITE. (Cette méthode vous paraît
peut-être naïve et simpliste
mais saviez-vous quel personnage célèbre y
recourait régulièrement ?
Vous êtes intrigué, n'est-ce
pas ? Vous croyez que semblables méthodes ne s'adressaient
qu'à des gens démunis? Eh bien détrompez vous ! Par exemple le grand poète allemand Goethe y recourait très régulièrement, chaque fois qu'il se sentait un peu déprimé {Eh oui, même les grands hommes se sentent parfois déprimé et ont besoin de petits trucs pour se remonter!!!) Le soir, avant de s'endormir, il se représentait mentalement en présence de son meilleur ami
(peut-être
le poète Schiller...) qui lui répétait
:
JE TE FELICITE !!!)
Représentez-vous dans votre nouveau
bureau. Il
est vaste, très éclairé, joliment décoré. Vous vous sentez drôlement confiant et content de
votre nouvelle position. Vos nouveaux collègues vous sont présentés à tour de rôle. Ils sont enchantés de vous rencontrer.
4. Ne vous censurez pas dans l'établissement de votre objectif.
Laissez votre raison raisonneuse de côté. N'exercez pas votre sens critique. C'est un peu comme dans une séance de brainstorming. Laissez toutes les idées couler librement.
Et n'ayez pas peur de manquer d'audace. Si vous manquez d'audace
vous serez le premier pénalisé. Pourquoi ? Eh bien parce qu'un objectif audacieux se réalise aussi facilement qu'un objectif plus modeste. Alors pourquoi se contenter de moins quand on peut avoir plus, quand on peut avoir tout ce qu'on désire.
Je sais que ces idées peuvent vous surprendre. Vous avez été habitué à
vous
limiter, à
croire qu'il faut
travailler très fort
pour obtenir de
maigres résultats.
5. Relisez tous les soirs avant de vous endormir votre objectif, au moins vingt fois d'affilée.
Lisez-le à HAUTE VOIX. Cela est très important. En répétant ainsi votre objectif, vous vous familiariserez
avec lui. Il fera partie de vous. C'est très important surtout si vous avez choisi (et je vous en félicite) de
prendre un objectif audacieux. Car un objectif audacieux vous paraît plus difficile à
atteindre, il vous paraît étranger. C'est pour cela qu'il faut le répéter
souvent pour le rendre plus familier...
6. Bannissez la peur, qui est votre plus grand ennemi. La peur est le résultat
d'une mauvaise compréhension de la
vie, et d'un manque d'estime de soi.
Ce qui est terrible avec la peur, c'est que ce que nous craignons ne manque pas de se
réaliser, si nous persistons dans nos craintes, car la peur est une pensée, - une pensée très puissante puisqu'elle est chargée d'émotion -. Elle tend donc à se réaliser comme toute autre pensée.
Le monde selon Shirley McLaine...
La célèbre actrice américaine Shirley McLaine explique dans son fameux best-seller MIROIR SECRET :
"Colin et moi commencions
à comprendre que la lutte, le conflit et la douleur n'étaient pas toujours nécessaire dans le processus créatif. En réalité, pour nous, c'était déjà du passé. C'est surtout (c'est moi qui souligne) parce que l'on croit que l'on a besoin de surmonter des difficultés que l'on se crée des obstacles
et des empêchements
dont on pourrait fort bien se passer. (Interrompez je vous prie votre lecture, au moins quelques secondes et réfléchissez à cette pensée. Ne vous est-il jamais arrivé de vous créer des obstacles volontairement, ou de tolérer des difficultés qui ne venaient que vous "permettre" d'avoir du succès, parce que quelque part en vous vous auriez eu mauvaise conscience d'avoir un succès sans
avoir préalablement lutté...) J'appelai
donc Jack Pursel pour une raison précise. Nous avions donné notre premier script de trois heures aux gens d'ABC, et la
réponse de Stan n'était pas très enthousiaste. Je fis part de mes inquiétudes à Jack qui demanda conseil à Lazaris. Sa réponse était très claire :
4ème
règle d'or : libérez-vous de la peur
N'y a-t-il pas en vous une peur secrète ?
Une
peur qui vous empêche de décrocher ce poste ? Ou même la croyance, encore plus pernicieuse que vous ne pouvez pas obtenir ce poste ? Que la concurrence est trop forte (c'est vrai qu'objectivement, il y a beaucoup de chômage et de concurrence).
Hais soyez persuadé que votre poste existe et qu'il n'en tient qu'à vous de l'obtenir dès que vous aurez chassé la crainte et le doute en vous, dès que vous serez persuadé
que
vous pouvez
le décrocher rapidement et sans grandes difficultés. Les choses se passeront alors naturellement, comme par magie.
Mais me direz-vous, comment se libérer de la peur, surtout si elle est inconsciente et profondément ancrée en vous ?
Par la répétition constante de pensées contraires. En relisant le plus souvent possible votre objectif et en vous représentant en possession de votre nouvel emploi.
5ème règle d'or : faites le premier pas !
Beaucoup de candidats à
un poste attendent passivement que les choses se produisent. Ils vivent dans un attentisme souvent plein d'inquiétude et de crainte. Un des grands secrets que
m'a confié Monsieur Goldsmith est tout simplement de faire le premier pas. Qu'est-ce que cela veut dire ? Tout
simplement que pour impressionner favorablement votre futur employeur,
La loi éternelle de la
compensation
En faisant le premier pas, vous mettez en marche une loi
très ancienne et universelle. Comme disait le philosophe Emerson, vous mettez pour ainsi dire Dieu dans votre dette. Mais cédons-lui la plume:
"Aimez, (ou sous une autre forme faites le premier pas vers votre employeur et il en fera un vers vous, ou un autre employeur le fera car il existe une justice immanente qui ne souffre aucune exception) aimez, donc, et vous serez aimé. Tout amour (et de la même manière tout travail) est mathématiquement
juste, aussi juste
que les deux termes
d'une équation
algébrique. L'homme bon possède un
bien absolu qui, comme le
feu, ramène tout à sa propre nature, de sorte que vous ne pouvez lui faire aucun mal...
Durant toute leur vie, les hommes souffrent d'une superstition absurde - à savoir qu'on peut les tromper. Mais il est aussi impossible à
un
homme d'être trompé par qui que ce
soit, excepté lui-même, qu'à une chose d'être, et en même temps de
ne pas être. En toutes nos transactions, il y a un tiers. La nature, l'âme des choses prend sur elle-même de
garantir l'exécution de tout
contrat, de sorte qu'un honnête service ne peut aboutir à
une
perte. Si vous servez un maître ingrat, ne l'en servez que mieux. Mettez Dieu dans votre dette. Pour chaque coup vous serez indemnité. Plus le paiement est différé, mieux cela vaut pour vous : car ajouter les intérêts composés, voilà la règle et la coutume de ce trésorier-là."
Voilà pourquoi
vous devez
faire
le premier pas et
ne pas avoir peur d'investir du temps et de l'énergie pour poser une candidature ou pour entreprendre un projet dont l'issue peut paraître incertaine, du moins à
ceux qui ne connaissent pas encore les grandes lois spirituelles du succès. Cela vous distinguera
de la masse et vous impressionnerez
favorablement les gens importants.
6ème règle d'or: plus on donne plus on reçoit !
Une des conséquences les plus naturelles et les plus logiques de l'éternelle
loi de la compensation qu'énonça Emerson, est que plus on donne plus on reçoit. Cela se
comprend aisément. C'est une application directe de
la
loi de compensation.
Monsieur Goldsmith me dérouta lorsqu'il m'expliqua ce qu'était à ses yeux un homme à succès ou un homme riche. J'avais beaucoup
de préjugés è
cet égard. Ne croit-on pas,
en général, qu'un homme riche est quelqu'un qui n'a cessé d'extorquer aux autres leurs biens, pour s'enrichir égoïstement ?
Un homme riche (et heureux, car il y a
des hommes riches qui ne sont pas heureux, ce sont ceux qui se sont enrichis malhonnêtement) est un homme qui a beaucoup donné aux autres. Il a donné par son labeur incessant, par les services qu'il a
rendus, en créant un nouveau produit, en
offrant un meilleur service qui a facilité la vie de ses contemporains.
Plus le service, plus le produit qu'il a fourni a aidé les autres, plus en échange il a reçu la compensation matérielle. En agissant pour les autres, il leur a
envoyé de l'amour, il les a
aidés. Et la fortune qu'il a
amassé n"est que le signe matériel de la reconnaissance des autres.
Celui qui est fort, celui qui veut connaître un succès éblouissant, doit faire le premier pas. Il ne doit pas attendre. Il doit donner. Le
plus abondamment
possible. Inévitablement, il recevra en retour une moisson, une richesse
abondante! Ceci est une loi éternelle qui ne souffre pas d'exception.
Si, parfois, on a l'impression que la loi n'est pas respectée c'est que pour certaines raisons il s'écoule parfois du temps avant que le
fruit ne puisse être récolté.
Mais n'en est-il pas ainsi pour l'homme qui sème du blé ? Il y a une saison pour les semailles, et une saison pour
la moisson!l!
Le secret
ultime
Juste avant de
me quitter, quelques minutes avant
d'arriver à l'aéroport, Monsieur Goldsmith prit un air grave.
Il avait perdu subitement
le sourire qui flottait depuis le début de notre conversation sur ses lèvres.
- Je vais maintenant te confier le secret ultime, dit-il.
La vie est
une
école a-t-on dit fort justement. Mais c'est une école où l'on enseigne quoi au juste ?
Je ne sus trop quoi lui répondre.
La 7ème règle d'or
- Ce qu'on apprend à cette école, c'est tout simplement à se connaître soi- même et à devenir maître de son propre esprit. Lorsque tu maîtriseras ton esprit, tu maîtriseras
ta destinée. Tu obtiendras littéralement TOUT CE QUE TU VEUX! En devenant maître de
ton esprit, tu comprendras une grande vérité concernant ta vie, ton travail, enfin tout ce qui te tient à cœur. Et cette vérité est la suivante : TOUT CE QUE L'ESPRIT
HUMAIN CROIT QU'IL
PEUT ACCOMPLIR, IL PEUT L'ACCOMPLIR.
A chaque fois que tu rencontres un échec ou une difficulté, fais un examen très
sérieux
de ton
âme et
demande-toi si
dès le départ tu n'étais
pas persuadé que tu échouerais. Si tu avais des doutes, si tu avais des craintes, c'est que tu croyais que tu échouerais. Et en vertu de la
logique la plus élémentaire, et pourtant le plus méconnue, tu as échoué.
Vous obtiendrez une personnalité magnétique
Ma formule donne la puissance de l'être. Une puissance formidable. Une puissance qui vient du plus profond de l'être. Une puissance que tous les gens qui entreront en contact avec toi ressentiront immédiatement. Ce qui fait que tu obtiendras une personnalité hautement magnétique.
La puissance est au fond ce que chacun recherche. Qu'ont en commun tous les gens qui ont réussi ? L'argent bien sûr. Des relations aussi. Mais ils ont surtout la puissance. Et contrairement à
ce que l'on croit généralement, cette puissance ce n'est pas le succès qui la leur a donné. Bien sûr la réussite a
pu augmenté leur puissance personnelle. Mais cette puissance qui a
assuré leur succès, ils la possédaient tous AVANT.
Et c'est précisément cette puissance personnelle qui a
pavé la voie de leur succès. C'est cette puissance qui a
ouvert toutes les portes devant eux. C'est
cette puissance qui leur
a permis
d'influencer
les
gens et
de
les
faire participer à leur succès.
Pour développer votre confiance en vous
Avec la puissance vient la CONFIANCE. La confiance qui nous permet
d'entreprendre les projets les plus audacieux. Qui nous permet de traverser
les difficultés. Et de nous relever après un cuisant écheC. La confiance qui entraîne dans notre sillon tous ceux que nous rencontrons, car la plupart des gens manquent de confiance en eux.
Avec la puissance
et la confiance, l'homme
reçoit
tout naturellement en héritage le
bonheur et la
santé (qui n'est qu'un reflet de notre âme}. Une âme puissante et confiante reçoit en partage le bonheur et un corps sain.
Tous les soirs avant de t'endormir, moment favorable entre tous pour impressionner ton esprit profond, répète cent fois d'affilée cette formule. 100 fois d'affilée! Cela peut te paraître beaucoup. Mais cela ne te prendra que quelques minutes. Quelques minutes qui transformeront ta vie. Si tu
veux avoir des effets encore plus rapides
et profonds, répète cette formule 200
fois, 500 fois. Répète-la également le matin juste après t'être éveillé. Tu verras au bout de quelques jours à peine, la formule agira, je
t'en donne l'assurance la plus formelle. C'est la clef du bonheur et de la richesse.
Grâce â cette formule secrète, tous les objectifs que tu as pris soin d'écrire sur un papier, se
réaliseront. Comme par magie, les
circonstances se produiront, toutes
les choses se mettront en
place. Tu
rencontreras
les bonnes
personnes. Au bon moment.
Tu ne laisseras plus
passer
des occasions de succès, comme par le passé.
Ton esprit deviendra de plus en plus puissant. Tu en seras le
premier étonné. Les gens autour
de
toi
obéiront à
tes désirs
et
â tes souhaits
les
plus profonds. Tu cesseras d'être un esclave des
circonstances pour devenir un MAITRE. Les événements se plieront à ta volonté dont la force aura une puissance nouvelle et formidable.
La plus grande puissance
En répétant cette formule qui fera désormais partie de ta vie, non seulement, tu acquerras une puissance qui fera de toi un homme totalement nouveau,
mais tu verras
éclore en toi la sagesse intérieure. Tout ce que j'ai pu te
dire, tous les principes que je t'ai exposés, tu les comprendras de l'intérieur, non pas avec ton seul intellect mais avec ton cœur.
Tu acquerras la compréhension réelle des choses, des êtres et de la Vie. Alors tu comprendras que la plus grande puissance est celle de l'Amour. Tu comprendras que la
meilleure manière d'avoir du succès, c'est d'ailleurs la seule manière, c'est D'AIDER LES AUTRES. Car en aidant les
autres c'est soi-même que l'on aide.
Alors chaque fois que tu as une hésitation, chaque fois que tu te demandes si ton
action
est juste, si ton projet est
louable
et s'il
t'apportera
succès, prospérité et
bonheur, demande-toi : EST-CE QUE CELA AIDE LES AUTRES ?
8ème règle d'or : aider les autres
Sois honnête avec toi-même. Si ta réponse est non, alors renonce au projet. Il ne t'apportera que soucis et pertes de toutes sortes.
Je dois maintenant
partir. Je
t'ai donné la clé de mon succès.
Tu as maintenant tout ce qu'il te faut pour connaître le succès dans tout ce que tu entreprends. Et devenir pleinement positif. Il
y a une seule chose que je ne peux faire à ta place : c'est de répéter pour toi la formule secrète que t'ai confiée. Tu peux donc décider de ta
vie et de ton destin A PARTIR D'AUJOURD'HUI. Le feras-tu ? Où feras-tu comme la majorité des gens qui sont victimes des événements ? A toi de choisir !!!